Cacatov ? Jet de caca ! Juste et odorant retour des choses. Le 22/08/2018, Le Parisien assiste à l'entraînement de CRS utilisant des canons à eau qui propulsent une mousse à base de protéines de viande macérée, mélange de sang séché et d'os broyés. Odeur pestilentielle ! Grâce à des produits de marquage imprégnant les vêtements ou la peau, un manifestant peut être repéré 3 semaines après avoir été arrosé. Notre police est facétieuse et en est restée au stade anal. Cette technique est utilisée depuis longtemps par les Israéliens, nos maîtres dans bien des domaines.
Pour François Bourguignon, professeur à l’Ecole d’économie de Paris, « il aurait sans doute mieux fallu débuter par des mesures en faveur du pouvoir d’achat pour tous » avant de chercher à « améliorer l’efficacité de notre système économique ». […] Aujourd’hui, le pouvoir d’achat des catégories des revenus bas et moyens est le même qu’en 2007, juste avant la crise. Cela représente plus d’une dizaine d’années de stagnation. […]Il y a d’abord la crise financière et économique, débutée en 2008. Le PIB a baissé, ce qui est très rarement arrivé depuis la Seconde Guerre mondiale. La baisse de la production nationale a entraîné celle du pouvoir d’achat. […] S’en suivent des années de politique d’austérité. Le PIB progresse à une vitesse extraordinairement faible, ce qui ne suffit pas à récupérer le choc de la crise de 2008. La stagnation vient de là. (Le Monde)
Lors d’un débat (CNEWS, 7 mars 2019, 19h17) sur l’interpellation de la France par l’ONU sur l’« usage excessif de la force» contre les Gilets Jaunes, Danielle Simonnet, a menacé de ne pas revenir dans l’émission, reprochant au journaliste son parti-pris et de ne pas la laisser développer son argumentation.Le maître des lieux (Pascal Praud) s’est comportée de la façon la plus ordurière qui soit, interrompant sans arrêt Simonnet, la traitant de menteuse lorsqu’elle affirma qu’un député a le droit, comme tout citoyen, de se trouver sur le parcours d’une manifestation interdite. Je n’ai qu’un conseil à donner à Simonnet et à tous les politiques de gauche : n’allez plus dans ces émissions des chaînes continues. Comme les grandes équipes de foot, ces chaînes sont des machines à fric. Elles sont dans la main du capital financier transnational. CNEXS appartient à Bolloré. BFMTV appartient à un milliardaire qui possède également SFR. En France, le câble est détenu par un individu de nationalités israélienne, portugaise et accessoirement française. Qui réside en Suisse, tant qu’à faire. Les débats, toujours déséquilibrés, n’existent que pour faire du fric. S’il ne peut plus vendre du débat, demain Praud, minus habens du journalisme, vendra des chaussettes. Donc si les gens de la vraie gauche ne se rendent plus sur ces plateaux au risque d’être bousculés, humiliés, insultés, ces débats n’auront plus de raison d’être.
Le grossier Aphatie a osé insulter Michelle Bachelet, qui avait dû fuir le Chili, son pays d'origine, après avoir été torturée sous la dictature du général Pinochet. Entre 2010 et 2013, elle a été secrétaire générale adjointe de l'ONU pour l'égalité des sexes, avant de devenir présidente du Chili entre 2014 et 2018. Ce 6 mars, elle a demandé à la France de mener une « enquête approfondie » sur les violences policières lors de la crise des gilets jaunes. Réaction de la carpette journalistique pyrénéenne : « on croirait que c’est le Conseil de sécurité de l’ONU qui réclame une enquête sur la police et les Gilets Jaunes. Renseignements pris, c’est une sous-secrétaire désœuvrée qui s’est exprimée un jour ou elle s’ennuyait. Étonnant, non
La direction du Monde, autre produit financier, a censuré un long texte sur les Gilets Jaunes d’Alain Badiou, un des rares intellectuels français lu de par le monde. Réaction du monde journalistique français : un pieu silence.
Quand le Conseil constitutionnel fait de la basse politique. Les huit « Sages » nommés ont aujourd’hui plus de pouvoir politique que les députés et les sénateurs, sans parler des associations et ONG consultées lors des récents États généraux de l’alimentation. L’article 78 de la loi dite Egalim sur « la cession à titre onéreux de variétés de semences relevant du domaine public » a été censuré par le Conseil Constitutionnel. Il permettait à quiconque de donner, échanger mais également vendre des semences de variétés non inscrites au catalogue officiel des utilisateurs non-professionnels. Monsanto, Bayer et deux ou trois autres se frottent les mains.