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14 octobre 2019 1 14 /10 /octobre /2019 05:14

 

Selon La Tribune de Genève (et selon de nombreux organes de presse français), l’Allemagne va bientôt faire face à une pauvreté de masse : « L’Allemagne compte 6,5 millions de contrats en minijob, qui permettent une dispense partielle des cotisations sociales. Or, 4,5 millions de ces derniers sont considérés comme l’emploi principal des gens concernés, et non pas, comme le voulait l’idée de départ, un travail d’appoint.

 

«Les retraités d’aujourd’hui ont également une vie complètement différente de celle de leurs aînés. Ils n’ont pas accumulé autant de trimestres – ou points – parce que le marché du travail s’est transformé. Ils comptent plus de périodes de rupture (chômage, formation, etc.) et ont moins cotisé ».

 

La grande coalition d’Angela Merkel, une alliance entre conservateurs (CSU/CDU) et sociaux-démocrates (SPD), a tenté une réforme des retraites pour anticiper cette pauvreté de masse. L’objectif est la stabilisation d’ici à 2045 du niveau des pensions à 46% des revenus nets (contre 48% aujourd’hui) et un financement des déficits par l’impôt (4,5 milliards d’euros à partir de 2030 et 8 milliards en 2040). L’âge légal de la retraite va passer progressivement de 65 à 67 ans. Cette réforme a prévu aussi des cotisations retraites obligatoires pour les travailleurs indépendants. »

 

Selon le site Sputnik, L’hébergement d’urgence des migrants se pérennise et séduit les investisseurs. Lancé en 2017 par Ampère Gestion et Adoma, deux filiales de CDC Habitat, elle-même filiale immobilière de la Caisse des Dépôts et consignations (CDC), ce fonds s’est porté acquéreur de pas moins de 59 hôtels à bas coût F1 pour les reconvertir en centres d’hébergement d’urgence, majoritairement pour demandeurs d’asile. Une opération qui a permis de structurer un parc de 6.000 places, géré par Adoma. Cette opération qui rapporte gros aux investisseurs. En effet, si chaque nuitée est facturée à l’État 16€, le fonds promet à ses souscripteurs un rendement de 3,5% par an.

 

Il n’y a pas de petite nouvelle. Selon France Bleue, « Avec sa citrouille de 496 kilos, un Vendéen entre au livre Guiness des records en décrochant le titre de "champion de la plus grosse citrouille" avec un légume de 496 kilos au parc expo des Oudairies de la Roche-sur-Yon. »

 

Selon le Financial Times, repris par le site OR.fr, deux sites bien cossus, donc, la dette mondiale atteint son plus haut niveau en temps de paix.Selon une analyse de Deutsche Bank, les principales économies de la planète ont une dette qui dépasse en moyenne 70% du PIB, soit le niveau le plus élevé des 150 dernières années, à l'exception d'un pic aux alentours de la Seconde Guerre mondiale, ce qui soulève de profondes interrogations quant à la viabilité de l'accumulation de dettes.

Contrairement aux périodes précédentes, où les gouvernements enregistraient des excédents en temps de paix, les pressions exercées par les systèmes démocratiques et sociaux modernes ont fait des déficits persistants la norme dans de nombreux pays. Ceux qui espèrent voir se répéter le grand désendettement de 1945-1980, lorsque le ratio dette publique sur PIB du Royaume-Uni, de la France, du Japon, de l'Australie et du Canada a chuté de plus de 100 points de pourcentage, risquent d'être déçus.

 

"Il est difficile de recréer de manière durable un tel scénario aujourd'hui. La croissance du PIB était bien plus élevée à cette époque en raison de la démographie favorable, de la reconstruction de l'après-guerre et de la forte croissance de la productivité", selon la Deutsche Bank.

 

Il est probable que les banques centrales continuent d’intervenir sur les marchés, ce qui a permis aux gouvernements de s’endetter davantage depuis la crise, peut-être même de financer directement leurs dépenses avec la “ monnaie hélicoptère ”.

 

Par leurs actions agressives au cours de la dernière décennie, les banques centrales sont prises à leur propre piège et doivent intervenir continuellement sur les marchés obligataires. Elles ont sans doute dépassé le point de non-retour.

Revue de presse (295)

 

Selon le Financial Times, repris par le site OR.fr, deux sites bien cossus, donc, la dette mondiale atteint son plus haut niveau en temps de paix.Selon une analyse de Deutsche Bank, les principales économies de la planète ont une dette qui dépasse en moyenne 70% du PIB, soit le niveau le plus élevé des 150 dernières années, à l'exception d'un pic aux alentours de la Seconde Guerre mondiale, ce qui soulève de profondes interrogations quant à la viabilité de l'accumulation de dettes.

Contrairement aux périodes précédentes, où les gouvernements enregistraient des excédents en temps de paix, les pressions exercées par les systèmes démocratiques et sociaux modernes ont fait des déficits persistants la norme dans de nombreux pays. Ceux qui espèrent voir se répéter le grand désendettement de 1945-1980, lorsque le ratio dette publique sur PIB du Royaume-Uni, de la France, du Japon, de l'Australie et du Canada a chuté de plus de 100 points de pourcentage, risquent d'être déçus.

 

"Il est difficile de recréer de manière durable un tel scénario aujourd'hui. La croissance du PIB était bien plus élevée à cette époque en raison de la démographie favorable, de la reconstruction de l'après-guerre et de la forte croissance de la productivité", selon la Deutsche Bank.

 

Il est probable que les banques centrales continuent d’intervenir sur les marchés, ce qui a permis aux gouvernements de s’endetter davantage depuis la crise, peut-être même de financer directement leurs dépenses avec la “ monnaie hélicoptère ”.

 

Par leurs actions agressives au cours de la dernière décennie, les banques centrales sont prises à leur propre piège et doivent intervenir continuellement sur les marchés obligataires. Elles ont sans doute dépassé le point de non-retour.

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commentaires

D
Certains s'inquiètent du sort des anglais pour leur avenir. Ils dépendent beaucoup de l'importation, en autres l' alimentaire. Heureusement ils peuvent compter sur nous, leurs plus proches voisins. Cela ne les empêche pas d'organiser un festival de la citrouille et le couple gagnant de cette année nous en sort une de 1028 kg ! En 2016, ils avaient déjà dépassé la tonne. Seraient-ils modestes au point de ne pas s'intéresser au Guiness des records ? <br /> <br /> https://www.lymington.com/news/140-news/1170-lymington-pumpkin-heaviest-uk
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A
La citrouille là, quand même 496 Kg c'est dingue ! Sinon les pauvres en Allemagne et la dette mondiale ça devrait aller...
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