J'ai récemment demandé à trois médecins s'ils pensaient qu'il y aurait une seconde vague.
Le premier, de manière très assurée, m'a répondu que non. Le problème est que, trois semaines auparavant, il avait dit le contraire. Il a ajouté que le problème majeur était celui des anti-corps dont on ne savait pour l'instant s'ils étaient bénéfiques ou nocifs, ou ni l'un ni l'autre.
Le second a répondu par la négative car il voyait la pandémie diminuer régulièrement en intensité.
Le troisième a répondu par l'affirmative. Il estime que le banquier éborgneur et sa bande souhaitent que toute la population soit infectée de manière ou d'une autre (comme en Suède ou au Royaume-Uni avant l'hospitalisation de Boris Johnson). Raison pour laquelle il n'ont pas voulu dépister pendant longtemps et ont refusé d'acheter des masques.
Je me suis longuement promené cet après-midi dans Lyon. En gros, deux personnes sur cinq étaient masquées. Et une masquée sur deux protégeait plutôt son menton que sa bouche. Il est vrai que respirer son CO2 n'est pas très agréable.
Je me sens de plus en plus en sursis.