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2 avril 2021 5 02 /04 /avril /2021 05:12

 

Je n’ai rien contre les vaccins, bien au contraire. Ayant vécu longtemps en Afrique, j’ai vu de graves maladies éradiquées grâce aux vaccins. Je vais me faire vacciner contre le Covid 19 dans quinze jours tandis que, six mois après avoir attrapé la maladie, je suis bourré d’anti-corps.

 

Mais avec le banquier éborgneur, tout est rapport de force, violence, domination. Il s’est servi de la pandémie pour réaliser deux objectifs : enrichir ses amis de la finance qui l’ont placé là où il est et restreindre toujours plus le champ des libertés individuelles.

 

Avec les vaccins, on ne peut faire ce que l’on veut. En tout cas depuis le procès de Nuremberg en 1947. Le «code de Nuremberg » a établi une liste de critères précisant  les conditions auxquelles doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme « acceptables ». Or n’oublions pas que les vaccins Covid ont été réalisées en un temps record, sans aucun recul et sans test sur des animaux.

 

Le code de Nuremberg spécifie que les sujets « doivent être suffisamment renseignés, et connaissent toute la portée de l'expérience pratiquée sur eux, afin d'être capables de mesurer l'effet de la décision qu’ils prennent. Avant que le sujet accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus. (Extrait du jugement du TMA, Nuremberg, 1947. Trad. française in F. Bayle, Croix gammée contre caducée. Les expériences humaines en Allemagne pendant la Deuxième Guerre Mondiale, Neustadt, Commission scientifique des Crimes de guerre, 1950.)

 

Une mauvaise évaluation du vaccin, sa mauvaise administration pouvant facilement entraîner un chef d’État devant une cour d’assises, le banquier éborgneur a décidé de biaiser avec son certificat sanitaire, son passeport vaccinal.

 

La scène suivante peut se passer littéralement demain : au moment où vous voulez entrer dans votre supermarché habituel, un bin se déclenche et un vigile vous annonce que votre certificat sanitaire n’est pas valide et donc que vous ne pouvez entrer.

 

Le 17 mars 2021, la Commission européenne (ah, chère Commission !) a institué ce certificat sanitaire. Six jours plus tard, les députés européens ont voté pour une procédure d’urgence afin que la proposition puisse être adoptée plus rapidement. Tout doigter bouclé pour juin.

 

Le passeport vaccinal indiquera si vous êtes vacciné et si vous avez été testé négativement. Dans le cas contraire, vous serez interdit de séjour dans les restaurants, les cafés, les cinés, les théâtres. Vos enfants pourront peut-être se voir refuser l’accès aux écoles, aux crèches. Des entreprises, des administrations pourront vous empêcher de travailler. Vous serez un paria dans votre pays (pardon, dans votre « territoire »). Et tout cela, même et surtout si vous n’êtes pas malade.

 

Le Conseil économique et social a sondé les Français qui se sont déclarés majoritairement hostiles à ce passeport. Qu’à cela ne tienne !

 

La santé des Européens est désormais entre les mains d’une poignée de hauts fonctionnaires bruxellois en lien avec les grands labos pharmaceutiques. Un certificat vert est en préparation.

 

Dans quelques années, on saura tout sur les différents vaccins fabriqués en quelques semaines et prescrits actuellement. D’ici là, on aura continué à fermer, rouvrir, refermer. On aura continué à laisser mourir seuls des vieillards dans les maisons de retraite. On aura interdit à des médecins de prescrire des médicaments certainement efficaces mais n’ayant pas l’heur de plaire à Big Pharma. On aura créé un chômage massif. On aura désespéré des populations entières.

 

 

 

 

 

 

Le banquier éborgneur va nous fliquer avec son passeport vaccinal
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