Suite à l’assassinat du père Olivier Maire, l’ancien commissaire de police Olivier Damien écrit ceci (Collectif Confiance en la justice) :
Incontestablement, notre univers quotidien est devenu kafkaïen. Gouvernés par des politiciens hors-sol plus prompts à « fliquer », taxer, pénaliser et contrôler les citoyens dans leur vie quotidienne, ils s’avèrent incapables de les soigner, de les sécuriser et de respecter leurs plus élémentaires libertés. Ainsi, la loi ne sert-elle plus à préserver l’intérêt général, mais devient un instrument de contrôle social à géométrie variable qui épargne les malfaisants et contraint les honnêtes gens. Face à de telles dérives, rappelons-nous ce que Montesquieu écrivait il y a près de trois siècles :
« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice ».
Selon Le Figaro, l'État français s'est allié au géant du numérique américain Google pour vérifier si les piscines construites par les particuliers sont bien déclarées et soumises à imposition.
Les grosses chaleurs de l'été enfin au rendez-vous, il peut être agréable de se prélasser dans sa piscine. Allongé sur vos bouées gonflables, profitez-en pour jeter un coup d'œil dans le ciel. Car on vous observe peut-être. Le trait est forcé, mais l'idée principale est là. Afin de pallier au manque à gagner fiscal des piscines non déclarées, l'État français a décidé de faire appel à Google et à ses outils technologiques pour traquer les fraudeurs.
Dans le Grand Soir, Caitlin Johnstone, « n’en revient toujours pas de l’audace dont fait preuve l’administration Biden en annonçant qu’il lui appartient de déterminer qui doit être banni des plates-formes de médias sociaux et du peu de réactions qu’elle suscite.
Imaginez l’indignation si Trump avait dit ça. Sérieusement, imaginez ça. L’administration Biden donnant des instructions à la plus grande plateforme de médias sociaux du monde pour savoir qui censurer est jusqu’à présent le plus grand moment de "Imaginez si Trump avait fait ça".
Ils ont dit que nous avions besoin de la censure d’internet à cause de la Russie. Ils ont dit que nous avions besoin de la censure d’internet à cause de Covid. Ils ont dit que nous avons besoin de la censure d’internet à cause de la sécurité des élections. Ils ont dit que nous avons besoin de la censure d’Internet à cause de l’émeute du Capitole. Ils ont dit que nous avions besoin de la censure d’Internet à cause de l’extrémisme intérieur.
Je suis presque sûre qu’ils veulent juste la censure d’internet.
Le gouvernement américain est sans exception la force la plus corrompue et la plus destructrice sur cette planète. C’est la dernière institution sur terre qui devrait être en charge de décider quel contenu en ligne est vrai ou faux. Absolument la dernière.
Je fais confiance à la sagesse collective pour trier le vrai du faux infiniment plus que je ne fais confiance à la sagesse du gouvernement américain et des ploutocrates de la Silicon Valley pour le faire à notre place.
Si les gens pensent que leur gouvernement leur ment et essaie de leur faire du mal, c’est entièrement la faute du gouvernement et de personne d’autre.
Vous n’êtes pas censé faire confiance au gouvernement, et les gouvernements ne sont pas censés agir d’une manière qui requiert votre confiance. Si vous vous retrouvez gouverné par une structure de pouvoir obscure qui exige votre foi aveugle en sa justesse, quelque chose a terriblement mal tourné.
Les États-Unis pourraient peut-être mettre fin à l’extrémisme intérieur en adoptant des politiques qui ne donnent pas envie à tout le monde de mettre le feu au pays. »