Théophraste R., dans Le Grand Soir, nous informe que la première bombe atomique qui tombera sur la France s’écrasera sur Toulouse : « La guerre de l’espace renforce l’activité du Centre spatial de Toulouse.
« Le campus du CNES à Toulouse va accueillir le nouveau commandement de l’espace qui opérera les moyens spatiaux de la défense nationale. Celui-ci réunira 400 personnes dans un bâtiment dédié en 2025, formées par le CNES. Sa création a favorisé aussi la venue du futur Centre d’excellence de l’Otan pour le domaine spatial ».
Je répète : « venue du futur Centre d’excellence de l’Otan pour le domaine spatial. »
Je traduis : en cas de conflit déclenché par les Etats-Unis qui commandent l’OTAN, Toulouse est en « pole position » pour recevoir une bombe atomique, con. »
Dans le World Socialist Website, Peter Schwarz dénonce la présence allemande en Afghanistan : « La prise de pouvoir par les talibans en Afghanistan n’a pas seulement conduit à l’effondrement complet du régime fantoche dirigé par le président Ashraf Ghani et l’armée afghane, elle a également fait exploser le tas de mensonges utilisé pour justifier la mission militaire d’après-guerre la plus longue, la plus importante et la plus coûteuse de l’armée allemande (Bundeswehr).
Depuis 20 ans, le gouvernement, l’opposition et les médias serviles du pays ont fait croire à l’opinion publique allemande que la Bundeswehr était en Afghanistan pour forer des puits, permettre aux filles d’aller à l’école et encourager l’édification de la nation. Rien de tout cela n’était vrai. La guerre afghane a été une sale guerre coloniale dès le début, avec tout ce que cela implique: massacres, torture, crime et corruption.
Bagram n’était pas seulement la plus grande base aérienne américaine du pays, mais aussi une prison et un centre de torture où les prisonniers politiques du monde entier étaient interrogés et transférés à Guantanamo. Deux prisons de Kaboul détenaient à elles seules près de 10.000 prisonniers politiques qui ont été libérés par les talibans lorsqu’ils ont pris le contrôle de la ville.
Selon les chiffres officiels, près de 165.000 Afghans ont été tués pendant la guerre. Le nombre réel est probablement beaucoup plus élevé. Des milliers de civils sont morts sous une pluie de bombes d’avions américains. Le plus grand massacre de ce genre, qui a coûté la vie à plus de 130 civils et de nombreux enfants, a été ordonné par un officier de la Bundeswehr, le colonel Georg Klein, près de Kunduz, le 4 septembre 2009. »
L’Obs annonce l’éternel retour de Jean-Pierre Elkabbach sur le devant de la scène médiatique, cette fois à Europe 1 : « La radio a connu en juin sa première grève d’ampleur qui a révélé la crainte d’une grande partie de la rédaction de devenir un « média d’opinion » semblable à CNews. Depuis, outre la suppression prévue d’une quarantaine de postes, les prétendants au départ sont nombreux tout comme les évictions.
Le présentateur Laurent Cabrol, l’éditorialiste politique Michaël Darmon, l’humoriste Nicolas Canteloup, Patrick Cohen, Pascale Clark, Anne Roumanoff, Bertrand Chameroy, Matthieu Belliard, Julie Leclerc ou encore Wendy Bouchard… Cette liste de partants s’est allongée au fil des semaines, illustrant la crise historique traversée par la radio.
Pour Jean-Pierre Elkabbach, nommé conseiller de Vincent Bolloré en 2017 après son éviction d’Europe 1, c’est un retour aux sources. Il avait rejoint la radio dès 1981 avant de la quitter en 1993 pour prendre la tête de France Télévisions. Il y était revenu en 1996, éclaboussé par un scandale sur l’attribution de contrats juteux aux animateurs-producteurs stars de France 2. »