Gala évoque pour nous les vacances exténuantes du prince Guillaume et de sa femme Catherine au large de la Cornouailles :
" Ce n’est pas un hasard si Kate et William ont choisi cette maison pour lieu de vacances. Dolphin House n’est autre que l’une des propriétés appartenant au prince Charles. Alors qu’il n’était qu’un enfant, le prince William venait y passer ses vacances avec son père, la princesse Diana et son petit frère Harry. Une fois arrivé dans ce cottage familial, de nombreux souvenirs risquent de remonter à la surface pour l'héritier du trône d'Angleterre. Encore plus, lorsque ce dernier a inauguré la sytue en hommage à la princesse des coeurs. Dès lors, le duc et la duchesse de Cambridge ne manqueront pas d’y créer de nouveaux souvenirs en compagnie de leurs trois bambins. S’ils n’en ont pas légalement les clés, Kate et William seront les usufruitiers de cette maison de vacances à la mort du prince Charles.
Et lorsque la famille royale ne décide pas d’y déposer leurs valises pour quelques semaines, ce cottage est mis en location. Il est alors possible pour les touristes de séjourner dans ce petit coin de paradis accessible uniquement par voie maritime ou aérienne. Cependant cela à prix. Pour devenir les Kate et William le temps d’un séjour, les futurs locataires doivent débourser la somme de 5000 livres sterling par semaine. La vie de château a un prix."
Sur le site Réveil communiste, Gilles Questiaux réfléchit aux différents visages de la social-démocratie : "La vraie SD consiste en la mise en œuvre, sans quitter l’économie capitaliste, d’une politique sociale poussée qui implique le versement de hauts salaires et une redistribution des revenus et - pas toujours - de taxation des patrimoines, et qui aboutit à une société nettement plus égalitaire, sans pour autant faire disparaître les classes sociales. Les bourgeoisies allemande, britannique, suédoise ont très bien survécu à ce régime. Mais elles auraient sans doute moins bien prospéré s’il avait duré une génération de plus.
La SD est une réalité complexe qui peut être envisagée (parfois par les mêmes personnes selon leurs interlocuteurs) soit comme une politique de compromis qui a pour but en définitive d’empêcher le socialisme en coupant l’herbe sous les pieds à ses partisans, soit comme un passage graduel et pacifique du capitalisme au socialisme (ce qui, jusqu’à présent, ne s’est jamais vu, et qui lorsqu’il a été tenté, comme au Chili de 1970 à 1973, a été empêché par la force). Un assez grand nombre de politiciens a joué sur l’ambiguïté entre ces deux interprétations, à commencer par François Mitterrand.
Elle implique une politique économique où l’État exerce un fort contrôle, notamment sur le secteur financier et sur les industries stratégiques. En ce sens, la politique économique chinoise sous la conduite de Xi Jinping se rapproche du modèle de la SD, à ceci près qu’en Chine aujourd’hui, la classe capitaliste est soumise au pouvoir politique et qu’en Europe occidentale de 1950 à 1980 environ, elle conservait ce pouvoir, tout en ayant l’intelligence de faire d’importants compromis avec la classe ouvrière pour préserver son existence à long terme.
La SD est liée à une politique de plein emploi, et aux théories économiques de Keynes, qui consistent à piloter l’économie à partir de la demande populaire, et à la tolérance de l’inflation qui réduit progressivement l’importance des rentiers dans la société. C’est d’ailleurs là que ça va coincer, et c’est sur les thèmes des dangers de l’inflation et de la réduction des impôts que s’est produit le coup d’arrêt contre les politiques SD des années 1980 dans divers pays occidentaux.
Elle suppose aussi une faible dépendance extérieure sur des importations stratégiques (sinon la demande provoque un trop gros déficit commercial, comme en France en 1982) et une forme de protectionnisme, ainsi que le contrôle des flux internationaux de main d’œuvre qui sont alors organisés par les États. On peut juger qu'une politique SD est tout à fait incompatible avec l'Union européenne, telle qu'elle est devenue.
Les pays qui appliquent une politique SD contrôlent leur immigration, qu’ils utilisent , d’une part, comme lot de consolation pour leurs capitalistes qui pourront embaucher un prolétariat interne plus exploité et moins protégé que le prolétariat national, et d’autre part pour éviter que la sécurité du lendemain, acquise par les autres ouvriers bénéficiant de la sécurité sociale ne les rendent trop exigeants sur le plan des salaires. Dans ces sociétés où les idéologies racistes sont encore prégnantes, et non combattues officiellement, l’immigration est pourtant mieux acceptée qu’aujourd’hui, parce que règne le plein-emploi, et que la présence des immigrés ouvre la perspective de promotion sociale aux autochtones (dans l’automobile, la plupart des ouvriers français d’avant la crise a bénéficié d’importants avantages de carrière, alors que les immigrés sont restés OS toute leur vie).
Les candidats de gauche d’aujourd’hui (Mélenchon, Roussel, etc) proposent de reprendre diverses formes de politique SD, des réformes de redistribution. Les Gilets Jaunes ne demandaient pas autre chose !
Il est juste de commencer par là et de proposer à la classe ouvrière et aux classes populaires en général des avantages tangibles et concrets. Mais au-delà de la victoire électorale ?
La SD ne peut pas être une solution valable pour plus d’une génération, parce que d’une part les profits actuels sur lesquels on compte prélever la redistribution sont largement acquis à l’extérieur du pays – c’est le cas des profits fabuleux distribués par les entreprises cotée au CAC 40. Ce sont de prélèvements impérialistes."
Sur le site du Grand Soir, Théophrase R. relateune catastrophe familiale : "
Je me fais fort de vous pondre sous ce titre tout un article qui se terminera par « Les malheureux avaient mangé une omelette d’amanite phalloïde », à la manière de (entre autres) :
- Reuters qui a fait un titre sur la mort par pneumonie due au COVID-19 d’un péruvien qui participait à un essai de vaccin chinois. L’article indiquait que le malheureux avait reçu un placebo (il est mort parce qu’il n’a pas reçu le vaccin).
- Le New York Times qui a titré sur le décès d’un volontaire lors d’un essai d’un vaccin chinois. La lecture de l’article révélait qu’il s’était suicidé.
- Etc.
Voyez ici de nombreux exemples d’enfumages pour faire accepter une « vaccination politique » qui écarte les vaccins non occidentaux, les plus utilisés dans le monde.