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22 novembre 2021 1 22 /11 /novembre /2021 06:07

Sur le site du Grand Soir, Ian Wright analyse la pensée de Marx sur le capital comme « dieu réel » : « Nous sommes soumis aux caprices du cycle économique et aux crises périodiques d’accumulation. Les récessions mettent régulièrement un grand nombre de personnes au chômage, sans qu’elles y soient pour rien. Soudain, les factures ne peuvent plus être payées. Des familles sont jetées à la rue, comme cela s’est produit aux États-Unis lors de la crise hypothécaire de 2008, et comme cela se produit à nouveau aujourd’hui.

 

Pourquoi ? Parce que les capitaux individuels sont presque aveugles. Ils ne voient que les rendements différentiels de leurs portefeuilles. Et les rendements peuvent être bons même si le chômage est élevé, ou si la misère humaine se répand dans les rues. Le capital ne s’en soucie pas.

 

Autre exemple : le capital traite de la valeur abstraite, et les choses qui ne sont pas possédées, qui ne sont pas achetées et vendues, n’ont donc aucune valeur pour lui. Ainsi, la richesse matérielle de la nature – la terre, les océans et l’atmosphère – est pillée sans relâche, sans se soucier des conséquences.

 

Le capital nous détruit, ainsi que l’environnement. La production sans fin et la recherche du profit ne peuvent s’arrêter, car chaque capital individuel doit se battre pour survivre. »

 

 

 

Dans L’Obs, Le gynécologue Philippe Faucher et l’avocate Sandra Vizzavona fustigent l’opposition du banquier éborgneur d’allonger le délai de l’IVG.

 

Sans nier que « l’IVG peut être une grande douleur pour certaines femmes », ils rappellent que « l’état des connaissances scientifiques sur la santé mentale des femmes après un avortement révèle qu’il n’existe pas de syndrome post-traumatique, contrairement à ce que tentent de répandre les mouvements anti-IVG, et nombreuses sont celles qui clament haut et fort qu’elles n’ont aucunement été perturbées par un avortement ».

 

« L’état des connaissances scientifiques sur la santé des femmes démontre que les avortements pratiqués entre 12 et 14 semaines de grossesse n’ont pas un retentissement différent de ceux intervenus avant ce terme », ajoutent-ils.

 

 

 

Selon Géo : Une explosion cosmique aurait détruit Tall el-Hammam, une ville de l'âge de bronze située dans la vallée du Jourdain.

 

Ce n'est pas la première fois qu'une telle hypothèse est évoquée, mais une étude publiée dans la revue Nature le 20 septembre semble la confirmer. La ville de Tall el-Hammam, site archéologique de la vallée du Jourdain au nord de la mer Morte, aurait été détruite par une gigantesque explosion cosmique.

 

"L'explosion était plus importante que celle de 1908 au-dessus de Tunguska, en Russie, où un bolide d'environ 50 mètres de large a explosé avec une énergie environ 1000 fois supérieure à celle de la bombe atomique d'Hiroshima.", explique les chercheurs. Cette déflagration aurait été si forte qu'elle aurait suffi à raser la ville. La répartition des ossements indique par ailleurs "une désarticulation extrême et une fragmentation du squelette chez les humains à proximité", précise l'étude. Un autre élément significatif de la violence de l’explosion.

 

 

Tall el-Hammam était-elle la ville biblique de Sodome ?

 

Le mystère reste entier, mais la question demeure posée. Selon le chapitre 19 du livre de la Genèse, les villes de Sodome et Gomorrhe auraient été détruites par "le soufre et le feu" en raison de leurs péchés. Une punition divine que certains ont rapproché de la destruction de la ville de Tall el-Hammam. "La description d'un témoin oculaire de cet événement catastrophique vieux de 3600 ans a pu être transmise sous la forme d'une tradition orale qui a fini par devenir le récit biblique écrit de la destruction de Sodome", précisent d'ailleurs les auteurs de l’étude.

 

 

On le redoutait : pour la première fois, la police a tiré à balles réelles, à Rotterdam, contre des manifestants hostiles aux vaccins.

Revue de Presse 381
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commentaires

A
à propos de l'article du Grand Soir<br /> J'ai peu lu dans mon adolescence si ce n'est des bandes dessinées et plutôt de celles qui ne rentrent pas dans la liste de celles qui sont encensées à part Mickey, Spirou ou Tintin.<br /> Par conséquent c'est tard et même très tard et encore aujourd'hui que je découvre les classiques, non de ceux qui sont au Panthéon et qui sont du domaine des érudits mais de ceux qui sont tout en étant magistrales ont eu beaucoup de lecteurs sauf par moi.<br /> Ça a évidemment plusieurs inconvénients et entre autres de n'avoir pas lu certaines œuvres et d'être dans l'impossibilité compte tenu du temps restant de ne pas pouvoir les lire.<br /> Cependant cette inconvénient a un avantage celui de découvrir aujourd'hui parfois<br /> un livre dont le récit bien que décrivant la réalité d'un époque nous démontre encore mieux la pérennité d'un système.<br /> J'aurais lu Les raisins de la colère dans les années 50, 60 ou 70 je n'aurais pas été conscient de cette permanence puisque l'époque était moins brutale.<br /> Tout le chapitre V bien que consacré au monde agricole est transposable à notre temps industriel et financier car les logiques sont identiques :<br /> " Certains représentants étaient compatissants parce qu'il s'en voulaient de ce qu'ils allaient faire, d'autres étaient furieux parce qu'ils n'aimaient pas être cruels, et d'autres étaient durs parce qu'il y avait longtemps qu'ils avaient compris qu'on ne peut être propriétaire sans être dur. Et tous étaient pris dans quelque chose qui les dépassait. Il y en avaient qui haïssaient les mathématiques qui les poussaient à agir ainsi ; certains avaient peur, et d'autres vénéraient les mathématiques qui leur offraient un refuge contre leurs pensées et leurs sentiments. Si c'était une banque ou une compagnie foncière qui possédait la terre, le représentant disait : " la banque ou la compagnie...a besoin...veut...insiste....exige..." comme si la banque ou la compagnie étaient des monstres doués de pensée et de sentiment qui les avaient eux-mêmes subjugués. Ceux-là se défendaient de prendre des responsabilités pour les banques ou les compagnies parce qu'ils étaient des hommes et des esclaves, tandis que les banques étaient à la fois des machines et des maîtres. Il y avait des agents qui ressentaient quelque fierté d'être des esclaves de maîtres si froids et si puissants. Les agents assis dans leurs voitures expliquaient : " vous savez que la terre est pauvre. Dieu sait qu'il y a assez longtemps que vous vous échinez dessus."<br /> <br /> À propos des manifs antipass il faut signaler qu'il y en a eu aussi à Zagreb, à Cesena Italie, à Rome, à Bruxelles, dans plusieurs grandes villes d'Australie et une toujours ce 20 novembre à Paris. Il est peu probable que les Pravda les signalent préférant focaliser les résistances sur des cas relevant à leurs yeux et de manière implicite de situations locales où les citoyens seraient habitués à la paresse et à l'assistanat.
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