D'autres mystères (on en trouverait à foison) :
Je tape “ Balavoine sur le Paris-Dakar ”. Il refuse, pour Balavoine ou le Paris-Dakar, je n'en sais rien.
Je tape, un peu provocateur : “ Une femme à la poitrine opulente. Réponse :
“ Avertissement de contenu
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Je tape : “ un chanteur de rock dans une course automobile ”. Il me propose une chanteuse. Et il accepte “ un bébé dans les bras d'un chanteur de rock ”. Il me propose : « Plan large d'un ours en peluche avec des lunettes de soleil regardant les grands immeubles de Times Square, art numérique », ou encore : « Une fille avec des écouteurs codés sur son ordinateur portable alors que son chat orange est assis à côté d'elle, impressionnisme ».
PS qui n'a rien à voir : Á l'Université Lyon2, il y a des universitaires sensés… et puis il y en a d'autres qui, tels les barbudos de la Sierra Maestra, se mettent délibérément hors la loi.
En mai 2023, un examen rédigé dans une écriture inclusive très poussée avait fait polémique à l'université Lyon 2. Plutôt que les "traditionnels" points médians, le professeur de droit s'était attelé à employer des termes incompréhensibles pour qui ne les maîtrise pas. Il y avait "l’enfant a été reconnux à l’état civil" ou encore "les professionnæls de santé".
A l'époque, l'UNI avait dénoncé ce sujet sur les réseaux sociaux.
Le syndicat étudiant classé à droite récidive cette semaine, car un prof de droit de Lyon 2 a remis une pièce dans la machine. Il s'agit d'ailleurs du même enseignant que celui qui avait proposé l'examen polémique.
Cette fois, c'est un courriel adressé à ses étudiants qui est exposé.
"Chærs étudianz, pour que vous ne soyez pas trop surpriz par les modalités de langage inclusif que j'utilise, je vous adresse les liens vers les deux grammaires que j'utilisent alternativement à l'oral ou l'écrit", indique-t-il, renvoyant sur les ouvrages "Grammaire du français inclusif" et "Grammaire du français hors sexe".
Et de donner également le lien d'un texte qui explique "les raisons qui (l')ont conduit à partir de 2017 à user progressivement d'un tel langage inclusif".
Jérémie Bréaud, le maire LR de Bron où se trouve le campus principal de Lyon 2, a réagi en interpellant la présidente de l'université Nathalie Dompnier : "A quand l'utilisation obligatoire du Français ? Nous savons que le ridicule ne tue pas mais quand même".
Source : Lyon Mag