Bernard Debré est un grand médecin, un grand chirurgien. Les rectums d’innombrables éminences n’ont plus de secret pour lui.
C’est également un homme politique que l’on peut classer à la droite de l’UMP.
S’attaquer, comme il l’a fait, à un homme qui est au fond du trou – et qui n’en ressortira peut-être jamais – prouve une chose : il y a des types qui sont encore plus kleiner Mannque le kleiner Mann qui gouverne la France depuis quatre ans.
Deux questions :
- Pourquoi Debré, qui « connaissait » les frasques de « l’obsédé sexuel, de l’escroc intellectuel, de la fausse valeur », ne les a-t-il pas dénoncées du temps de la splendeur du directeur du FMI ?
- Comment se fait-il que l’urologue connaissait avant tout le monde le prénom de la victime présumée du Sofitel de New York ?