N. Sarkozy a commis jeudi à la télé cette phrase qui fit pleurer J. D’Ormesson : « En France, ceux qui réclament plus ne sont pas ceux qui en ont besoin le plus »
Exercices de style :
- En France, ceux qui crient famine, ont l’grenier plein d’farine.
- S’il y en a qu’ça les démange de tout vouloir, j’ai pas été élu pour oublier ceux qui en ont b’zoin l’plus.
- En France, qui veut l’plus peut l’plus, qui veut l’moins travaille 35 heures.
Les pauvres, tu leur donnes ça, eh bien, y l’prennent.
- Les riches, tu leur piques un centime, ils filent à l’étranger, on s’demande « c’est à quoi ça leur a servi » d’les éduquer ici.
- Laurence Parisot réclame rien : j’lui ai donné avant.
- En France, (saloperie d’épaule qui tressaute. Casse-toi, pauv’ conne) plus réclament ceux qui pas besoin, moins contente Angela Merkel.
Théophraste R. ( Syndicaliste un jour, Grévisse toujours !)*.
PS. En vrac pour saupoudrer : « Ch’ais pas", "ch’uis", "m’enfin", y a ».
* ou peut-être : syndicalisse un jour, Gréviste toujours...
Lors de son numéro face à Calvi et Pernaut, Sarkozy, en bon pédago-proche-du-populo, a
fait allusion au feuilleton Borgia, actuellement programmé par Canal+. Il a situé les événements au XVIème siècle alors que le pape éponyme fut couronné au XVème. Ni Mitterrand, ni même
Chirac n'auraient commis cetre bourde.