Le Grand Soir dénonce le génocide des Palestiniens par la privation d’eau :
« Le manque d’eau potable dans la bande de Gaza est devenu une question de vie ou de mort, les habitants étant actuellement contraints de boire de l’eau de puits non traitée en raison des attaques militaires israéliennes incessantes et du manque de nourriture, d’eau et de carburant.
La consommation excessive d’eau salée non potable entraîne une hypertension artérielle, des maladies rénales, un risque accru d’accident vasculaire cérébral, des maladies intestinales et gastriques, des vomissements constants et des diarrhées.
Euro-Med Monitor a mené une étude analytique en décembre dernier auprès d’un échantillon de 1 200 personnes dans la bande de Gaza afin de déterminer l’impact de la crise humanitaire vécue par les résidents de l’enclave au milieu de la guerre génocidaire d’Israël.
Selon l’étude, le taux d’accès à l’eau dans la bande de Gaza, qu’il s’agisse de l’eau potable, de l’eau pour se laver ou le nettoyage, n’est que de 1,5 litre par personne et par jour. C’est 15 litres de moins que la quantité minimale d’eau nécessaire à la survie au niveau requis par les normes internationales.
Le droit international interdit d’attaquer, de détruire ou de perturber les installations vitales nécessaires à la survie de la population civile, telles que les installations et les réseaux d’eau potable. En tant que puissance occupante, Israël est tenu de répondre aux besoins fondamentaux de la population palestinienne de la bande de Gaza et de la protéger.
Le statut de Rome de la Cour pénale internationale prévoit que le fait d’affamer intentionnellement des civils en les « privant d’objets indispensables à leur survie » constitue un crime de guerre.
Dans L’Obs, Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité, s’inquiète de la banalisation du racisme dans notre pays et réfléchit sur les mesures qu’un gouvernement d’extrême droite pourrait prendre à l’égard des étrangers : « Le point culminant, c’est bien entendu la question de la préférence nationale, c’est-à-dire l’institutionnalisation d’une approche essentialiste de la personne humaine, que l’on juge un individu bon ou mauvais, fréquentable ou pas fréquentable, selon sa nature. Cette mesure cible les étrangers, mais on sait très bien que derrière ce sont tous les pauvres qui sont visés. Nous craignons que le RSA ainsi que les politiques publiques qui permettent l’hébergement, l’accompagnement dans les rues, ou les distributions alimentaires soient remises en cause. Mais le risque le plus grave est sans doute de voir se multiplier des actes quotidiens de racisme. Qu’avec l’extrême droite au pouvoir, les chiens soient lâchés, que des comportements d’humiliation de la part de petits chefs dans les préfectures soient encouragés. Il y a là quelque chose évidemment qui relève de l’inacceptable que nous combattrons de toutes nos forces. »
Dans Le Monde, face au sort des détenus palestiniens, le Shin Bet admet une « violation des conventions internationales » : « Les violences infligées aux Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes, dont le nombre a atteint 21 000 pour « une capacité d’accueil standard de 14 500 places », sont devenues si courantes que même le Shin Bet, le service de renseignement intérieur de l’Etat hébreu, s’en inquiète. Le sujet a fait l’objet d’un courrier adressé fin juin, par le chef de cette agence, Ronen Bar, au bureau du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou. Dans cette lettre, publiée le 2 juillet par le quotidien Yediot Aharonot, M. Bar atteste la « détérioration significative des conditions d’emprisonnement des Palestiniens », faisant état notamment de « coups, insultes, traitements dégradants et menaces ».
Ce ne sont pas ces pratiques en elles-mêmes qui alarment le dirigeant du Shin Bet, mais leurs répercussions potentielles sur les relations d’Israël avec ses alliés occidentaux. « Cette crise a des implications stratégiques négatives, principalement en termes de légitimité internationale pour poursuivre la guerre à Gaza, une des préoccupations-clés étant un possible arrêt du commerce de défense avec les pays occidentaux », écrit M. Bar. Ce dernier rapporte dans sa missive que certains des partenaires d’Israël ont « soulevé des allégations concernant le traitement des détenus », ajoutant qu’« Israël éprouve des difficultés à les repousser, certaines d’entre elles étant fondées ». »
Le Courrier Picard explique que se voir attribuer la Légion d’honneur coûte de plus en plus cher :
Chevalier : jusqu’à 295 euros en 2021, jusqu’à 550 euros en 2024
Officier : jusqu’à 380 euros en 2021, jusqu’à 620 euros en 2024
Commandeur : jusqu’à 680 euros en 2021, jusqu’à 790 euros en 2024
Grand officier : jusqu’à 1300 euros en 2021, jusqu’à 1550 euros en 2024
Grand-croix : jusqu’à 1750 euros en 2021, jusqu’à 2060 euros en 2024
On doit également acquitter des droits de chancellerie, redevables pour l’établissement du brevet. Pour la Légion d’honneur, les droits s’élèvent à :
50 euros pour le grade de chevalier
75 euros pour le grade d’officier
100 euros pour le grade de commandeur
150 euros pour la dignité de grand officier
200 euros pour la dignité de grand-croix
Je pars 2/3 jours, mais le blog continue tout seul, comme un grand !