Le jour où sera fait un vrai bilan de l’action du boy de Rothschild lors de la crise du Covid n’est pas venu, mais ça fera mal. Le problème est qu’il sera trop tard.
Quelques notes provisoires.
Le boy nous a assigné à résidence avec des attestations pour pouvoir sortir de chez nous. Il a fermé les cafés, les restaurants, les cinémas, les écoles. Sa police a traqué des gens qui se promenaient sur des plages sans personne à des kilomètres à la ronde.
Il a qualifié les masques d’inutiles puis d’obligatoire. Y compris pour des malades à l’hôpital qui crevaient à petit feu de ne pouvoir respirer correctement et aussi de femmes en train d’accoucher. Il a osé affirmé qu'il n'y avait aucun risque de rupture. Avant de reconnaître qu'il y avait eu des manques, des tensions. Or, des mois durant, les médecins ont manqué de tout : masques, sur-blouses, médicaments, tests, lits de réanimation.
Il a laissé des “ spécialistes ” des chaînes d’info critiquer de vrais savants.
Il a mis en place des drones pour nous surveiller.
Il a dit que nos hôpitaux étaient saturés, tout en organisant la fermeture de centaines de lits. Il a empêché l’hospitalisation de pensionnaires d’EHPAD qui ont dû s’en sortir avec des anticonvulsivants du style Rivotril, alors qu’ils étaient interdits de sortie, de visites, parfois attachés dans leur lit.
Le 12 juillet 2021, le boy a étouffé la vie démocratique en imposant un pass sanitaire régentant notre vie en société, jusque dans les hôpitaux où les titulaires du précieux sésame passaient aux urgences devant ceux qui qui n’en étaient pas porteurs. Le boy tua dans l’œuf une information, une réflexion sur les effets secondaires du vaccin.
Il n’a pas critiqué le délire de certaines éminences médicales : « Une personne revendiquant le libre choix de ne pas se faire vacciner ne devrait-elle pas assumer en cohérence son libre choix de ne pas se faire réanimer ? » (André Grimaldi, diabétologue), philosophique : « les non- vaccinés sont des racailles, des contaminateurs conscients d’avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles » (Michel Onfray) ou journalistiques : « Faisons payer l’entrée en réanimation aux non-vaccinés » (Charles Consigny).
Il n’a pas critiqué le journaliste replet Emmanuel Lechypre, grosse boule fascistoïde : « On vous vaccinera de force. Moi, je vous ferais emmener par deux policiers au centre de vaccination. » Il était sur la même ligne d’extrême violence : « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Je ne vais pas les mettre en prison [ô, fantasme !], je ne vais pas les vacciner de force [ô re-fantasme dans un pays où le vaccin n’était nullement obligatoire]. Il faut leur dire : à partir du 15 janvier 2022, vous ne pourrez plus aller au restau, au théâtre, au ciné. »
L’important, pour le boy, était de tuer le lien social et de faire avancer toujours plus vite l’Europe de la finance contre les peuples. Il a réussi.