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4 avril 2022 1 04 /04 /avril /2022 05:01

Dans son blog, Jean Lévy s’intéresse à BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, détenant près de 7 800 milliards de dollars d’encours en octobre 2020, dont l’activité repose sur la gestion et le placement d’argent provenant de fonds de pension, d’assurances et de petits épargnants :

« Le lien entre ce fonds d’investissement américain et le système de retraites français n’est pas évident à première vue, et pourtant la réforme des retraites est l’occasion idéale pour ramener de nouveaux clients auprès du gestionnaire multinational. Si un gouvernement diminue les cotisations pour la retraite et donc les sommes versées aux personnes concernées, il incite les épargnants des classes supérieures à se tourner vers des fonds de placements privés. Comme le soulignait Le Monde en janvier 2020 : les syndicats, les partis politiques de gauche et quelques-uns de droite qualifiaient BlackRock de « cheval de Troie de la capitalisation » essayant de tirer profit de la réforme des retraites.

“Depuis plusieurs années, BlackRock se montre intéressé pour mettre la main sur une partie de l’épargne des actifs français les mieux payés, afin de l’orienter vers l’épargne retraite” rappelle France Info. Larry Fink, PDG de BlackRock, a été discrètement reçu par Emmanuel Macron, selon L’Obs” et, “en octobre 2017, le gouvernement a demandé au Comité action publique 2022 de plancher sur la réforme de l’État. Un groupe d’experts où siège Jean-François Cirelli, le patron de la branche française de BlackRock”. Les rencontres au sommet ne s’arrêtent pas là poursuit France Info :  “On retrouve encore Larry Fink à l’Élysée en juillet 2019, à l’invitation d’Emmanuel Macron, lors d’une réunion sur le climat et l’investissement ».

 

Toujours dans son blog, Jean Lévy rappelle que Georges Ibrahim Abdallah, enfermé en France depuis 38 ans, aura 71 ans le 2 avril prochain.  Le combat de Georges et celui de la Palestine sont intimement liés. Nous voulons interpeller le gouvernement et les candidates et candidats pour qu’un engagement public pour la libération de Georges soit pris dès à présent.

 

 

L’Obs rend compte de la création historique (saluée par Joe Biden), à New York, du premier syndicat chez Amazon des États-Unis : « Un petit groupe d’employés motivés a fait flancher l’une des plus grandes multinationales : les salariés d’un entrepôt d’Amazon à New York ont voté en majorité en faveur de la création d’un syndicat, une première aux États-Unis au sein de l’entreprise.

Selon un décompte retransmis en ligne, 2 654 employés ont coché « oui » pour être représentés par l’organisation indépendante Amazon Labor Union, créée il y a près d’un an, contre 2 131 ayant voté « non ».

L’entreprise a de son côté embauché des consultants spécialisés et convoqué les salariés à plusieurs réunions obligatoires à l’approche du scrutin pour leur présenter les inconvénients d’un syndicat. « Beaucoup de gens nous ont dit qu’on ne pouvait pas gagner, qu’on avait besoin d’un syndicat expérimenté », remarque Mat Cusick. « De nombreux travailleurs vont maintenant se rendre compte que ce n’est pas vrai et qu’ils peuvent le faire ».

 

Revue de Presse (400)

Dans Le Grand Soir, José Manzaneda décrit la censure organisée dans le monde “ occidental ” autour de la guerre en Ukraine : « Les médias russes, qui ont été pendant des années un espace pour des analystes internationaux critiques, ont été interdits par les États-Unis, l’Union européenne, le Royaume-Uni et d’autres alliés. Sa diffusion en direct, ses chaînes YouTube et tous ses réseaux sociaux. Sans aucune décision judiciaire.

Google a supprimé de son moteur de recherche ses contenus précédents, son hémérothèque. Réécrire l’histoire, comme le Ministère de la vérité du roman 1984. »

 

 

Dans le site de l’1dex, Claude Lelièvre moque les prétentions pédagogiques d’Éric Zemmour : « Il avait déjà fait fort avec la proposition du retour du certificat d’études primaires. Il continue de façon réitérée en prétendant qu’il faut revenir aux méthodes de Jules Ferry : le par cœur et la dictée, alors qu’en réalité Jules Ferry et son lieutenant historique Ernest Lavisse ne se prononçaient nullement en ce sens, Lavisse pour qui on ne devait pas apprendre l’histoire par « cœur » mais « par le cœur ».

UN PEU D'ÉTRANGITUDE

Revue de Presse (400)
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