1 novembre 2014
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Vous savez, Thierry Carcenac, qui trouve stupide de mourir pour des idées. Comme Guy Môquet, par exemple. Ou encore ces jeunes gens, résistants de la première heure, à qui Roger Faligot a consacré un si beau livre. Ce ne sont plus les régimes totalitaires qui nous écrasent mais le capitalisme financier, dont l'agriculture productiviste et les Solfériniens sont les agents.
Benoît Biteau, agriculteur bio et élu de la région Poitou-Charentes, vient de lui envoyer une lettre ouverte, à la fois technique, pleine de bon sens et de cœur.