Le projet de loi « pour le plein-emploi » a pour objectif de faire passer le chômage de 7,1% à moins de 5%. Le texte propose de revoir l'accompagnement des chômeurs et des personnes au RSA, ainsi que d'améliorer l'insertion des demandeurs d'emploi.
Le journaliste du site Blast Thierry Gadault a montré que ces réformes allaient bénéficier à des acteurs privés, bien choisis par le pouvoir, c'est-à-dire par le boy de Rothschild. Marc Ferraci, camarade de classe du boy à Sciences-Po et qui fut responsable du programme économique de la campagne du boy et qui est aujourd'hui vice-président du groupe Renaissance, a piloté une réforme qui devrait bénéficier à plusieurs acteurs privés, dont Secafi, l'entreprise d'audit et de conseil du père de Marc Ferraci. Vous avez dit conflit d'intérêts ?
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