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8 avril 2024 1 08 /04 /avril /2024 05:01

Selon le World Socialist Website, les élections de 2024 aux États-Unis font oublier les ravages de la pandémie du COVID : « Le sujet de la pandémie de COVID-19 est presque entièrement ignoré par les deux principaux candidats, ainsi que par la quasi-totalité des campagnes des tiers partis. Seuls le Parti de l’égalité socialiste identifie la pandémie comme un problème majeur qui perdure et propose un programme socialiste pour l’enrayer.

 

La pandémie a provoqué plus de 28,5 millions de décès dans le monde, dont plus de 1,4 million aux États-Unis, et plus de 4 000 personnes continuent de mourir chaque jour dans le monde à cause du COVID-19 ou de ses innombrables effets sur la santé.

 

Comment expliquer le silence des grands partis et de la classe moyenne sur cet événement historique mondial qui a touché chaque être humain et profondément modifié la société ?

 

La pandémie était sans doute la question centrale des élections américaines de 2020. La réponse horrible du gouvernement Trump, qui a combiné les politiques procapitalistes les plus flagrantes avec une arriération extrême et une hostilité à la science, a choqué des millions d’Américains.

 

Tandis que Trump mobilisait ses partisans pour qu’ils s’opposent à des confinements limités et à toutes les autres mesures élémentaires de santé publique, Joe Biden a affirmé qu’il « suivrait la science » et mettrait fin à la pandémie. Lors du dernier débat en octobre 2020, alors qu’un peu plus de 200 000 Américains étaient morts du COVID-19, Joe Biden a déclaré : « Quiconque est responsable d’un tel nombre de décès ne devrait pas rester président des États-Unis d’Amérique. »

 

Mais après avoir remporté l’élection, Joe Biden a immédiatement rejeté les fermetures d’écoles et a lancé la réouverture complète de toutes les écoles publiques avant même que les éducateurs ou les enfants ne soient vaccinés. Depuis l’investiture de Biden, plus de 720 000 Américains sont morts du COVID-19, soit la majorité des 1 186 671 décès officiels. »

 

 

L’Humanité rapporte que le député communiste Ofer Cassif a été expulsé de la tribune de la Knesset, mercredi 3 avril, après avoir dénoncé les attaques d’hôpitaux à Gaza par les soldats israéliens et qualifié les opérations militaires à Al-Shifa de « crime de guerre ». En janvier, l’extrême droite avait tenté de le faire expulser définitivement du parlement israélien. Il a déclaré que « l’opération meurtrière de l’armée à l’hôpital Al-Shifa dans la bande de Gaza » était un « crime de guerre ». Les soldats vont dans les hôpitaux et attaquent. Alors que les forces quittent l’hôpital, les témoignages difficiles, les photos de la ruine et de la destruction et les histoires horribles des survivants commencent à sortir », a ainsi clamé le député juif non-sioniste à la tribune du parlement israëlien.

 

 

Selon Le Monde, avant de voter en assemblée générale, ISS, Proxinvest et Glass Lewis, trois des cabinets les plus écoutés par les fonds d’investissement, ont épinglé la rémunération de Carlos Tavares, le directeur général de Stellantis.

ISS (pour International Shareholder Services), agence spécialisée dans le conseil aux actionnaires, évalue les émoluments du directeur général du groupe automobile à 42 millions d’euros pour 2023, après 17,5 millions en 2022. Un montant qu’elle juge « excessif » par rapport à celui de ses pairs. Les cabinets Proxinvest et Glass Lewis font une analyse similaire.

ISS a envoyé le 25 mars aux actionnaires du groupe automobile ses recommandations pour l’AG du 16 avril au cours de laquelle ils devront approuver – ou pas – la rémunération de M. Tavares au titre de l’année 2023. Les experts préconisent de voter contre, tout en reconnaissant les efforts de transparence de l’entreprise, l’écoute dont elle fait preuve et ses très bons résultats. « La rémunération est excessive même dans ce contexte », conclut ISSUn « excès » qui ne concerne pas seulement Carlos Tavares, directeur général. ISS épingle aussi les avantages octroyés à John Elkann, le président du groupe, en particulier l’utilisation d’un avion privé.

 

 

Enfin, dans Le Grand Soir, Théophraste R. oppose les points de vue d’Éric Cantona et de Michel Boujenah sur le génocide en Palestine : « Le premier plaide pour que les Français ayant commis des crimes de guerre en Palestine sous l’uniforme israélien soient jugés sur notre sol, le second voit dans les Palestiniens des « sauvages » passibles d’une bombe nucléaire « comme à Hiroshima ».

 

Revue de Presse 504

PS : quand l'Église catholique était intégriste :

Revue de Presse 504
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