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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 08:18

Qui regrette Margaret ?

Le capital de la douleur... la douleur capitale.


Elle est morte, celle qui fit de l'ombre à la lumière de la Reine.

L'intransigeante, l'austère, l'inconditionnelle... morte... elle est morte.


Mais ce n'est pas nous, c'est elle qui nous a tué.


En nous léguant un monde sans cœur, sans âme et sans esprit

Le cœur d'un monde sans cœur


L'âme d'un monde sans âme


L'esprit d'un monde sans esprit

Autrement dit : une religion d'une tristesse infinie

Le capitalisme comme vérité, comme chemin, comme vie


Margaret.... avec ses regrets, que nul ne regrette.


Elle condamna le désir, le plaisir et le rire


Quand ils sont vécus sans Dieu en lettres capitales : 


"Malheur à vous qui riez, car vous connaîtrez le deuil et les larmes...


Que votre rire se change en deuil et votre joie en tristesse...

Humiliez-vous devant le Seigneur"... des capitaux!


C'est cette autorité qui va déboucher sur l'austérité actuelle.



Elle n'a jamais ri.

Elle ne rira plus jamais...


Elle a laissé des armes pour les uns, des larmes pour tous les autres.


Margaret, avec ton système, on cherchera toujours le coupable.


En sachant d'avance que les victimes seront inconsolables

Affligés et malheureux d'être affligés


Par le divin capital ou capital divin

Avec lequel tu as nourri, puis affamé toutes nos espérances.


Margaret... nous ne croyons plus en Dieu...


Mais seulement dans notre peine capitale


Bienvenue en enfer...

Dame de fer !

 


 

Ce fort texte n'est pas de moi. Il est ici : http://www.lejournaldepersonne.com/

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